Hier, on commémorait les attentats du 11 septembre 2001, ce triste jour où la terre entière mesurait le danger djihadiste, sa puissance de frappe, ses moyens colossaux et sa capacité à organiser dans l'ombre le meurtre en masse d'innocents. Hier, l'ignominie salafiste a encore frappé, en Libye, tuant l'ambassadeur américain, trois fonctionnaires de l'ambassade et une dizaine d'autres personnes dans les forces de l'ordre libyennes, totalement débordées. Bien sûr, la provocation était immonde, un mauvais film traînant dans la boue Mahomet, une ignoble provocation orchestrée par des ânes braillards, brûleurs de Coran tout aussi fondamentalistes que ceux qu'ils provoquent et capables de lever 5 millions pour tourner un navet. On ne peut même pas, là, invoquer la liberté d'expression parce que ce film est une incitation à la haine, rien de plus. Il n'a été tourné que pour cela, pour jeter l'opprobre sur tous les Musulmans, stigmatiser...