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Affichage des articles du août, 2013

Ambiance guerre froide dans le n°48 de la Semaine ARySQUE

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Le numéro 48 de la Semaine ARySQUE est en ligne. Un numéro plus pictural et moins dessiné : la crise syrienne et le grand désordre mondial de ces derniers jours méritaient un traitement spécifique. Pour découvrir ce numéro quelque peu fâché avec l'ONU et le Conseil de sécurité, cliquez sur sa Une :

Dans les yeux des gosses gazés

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100 000 morts et deux millions de réfugiés. La froideur des chiffres n'aura pas suffi et malgré l'horreur répétée, mois après mois, par le HCR, Human Rights Watch et nombre d'observateurs, la guerre s'est poursuivie en Syrie, sous le regard plus ou moins appuyé des médias qui égrenaient jour après jour, le nombre de morts. Nous étions là, impuissants, devant nos écrans, nos pages imprimées et nos postes de radio et nous avons plus souvent qu'à notre tour étouffé un cri d'effroi, la main plaquée sur nos bouches inutiles, appelant de nos vœux que quelque chose - enfin ! - mette fin au conflit. Puis l'horreur absolue de l'innocence assassinée nous a sauté dessus. Nous le savions bien sûr, on s'en doutait, mais quand nos yeux nettoyés ont croisé le regard éteint des enfants gazés, il devint impossible de regarder ailleurs : des centaines de gosses, morts, froidement, sans une goutte de sang. Une mort incolore et inodore… Gazés, vous dis-je !

Le retour de la Semaine ARySQUE

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Le numéro 47 de la Semaine ARySQUE est en ligne et vous parle de Dieu… Mais avant cela, une pensée très triste pour les centaines de gamins tombés cette semaine dans la banlieue de Damas, une larme en 4 dessins contre l'horreur absolue de l'innocence assassinée. :-((  Pour lire le numéro 47, cliquez sur sa Une ci-dessous

De retour, la tête dans les étoiles

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Non, je ne suis pas venue taquiner ce blog pendant mes vacances et non je n'ai pas fait le moindre croquis sur l'actu, pas le moindre texte engagé. Sans sujet, sans raison, j'ai laissé aux fleurs de mon jardin le soin de titiller les muses.  Il faisait chaud — même là-haut ! — et j'ai arrosé à grande eau mes fleurs et mes papiers. Aléatoire, j'ai jeté mes encres pour ne pas jeter l'ancre et pris la poudre d'escampette sur mes feuilles éclaboussées. Parfumée à la violette (la poudre d'escampette) . Technique mixte sur papier torchon. 31 x 41cm. La Confusion des sentiments , encre et feutre sur papier torchon, 18 x 26 cm L'été en gerbe , encre et feutre sur papier torchon, 18 x 26 cm Mon homme volait tout près, à portée d'yeux.  Moi, je n'avais d'yeux que pour mes fleurs : les panicots et les lys, les asters et les phlox, toutes celles dont j'ignore le nom… et ces hémérocalles, lys d'un jour que