Peace and love, sans blague !
Ce matin, je me suis réveillée au son des petits oiseaux qui gazouillaient sur mon portable et recueillais, ravie, les messages sur ma page Facebook (merci à tous): j'entre dans ma cinquantième année et je savourais ces petits bonheurs avec toute l'insouciance qui caractérise ma génération.
(…)
Puis Bruxelles a reçu. Un double attentat. Coordonné.
One more.
(…)
Hier, j'ai tourné la dernière page des Choses de Pérec, secouée d'insouciance.
Il me semble que, de toutes façons, cette page-là a tourné.
Et pourtant, sans blague : "Peace and love" !
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