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Affichage des articles du décembre, 2013

Un siècle en Centrafrique - 1 -

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Un siècle en Centrafrique - fresque-collage murale - travail en cours (étape 1).  Voilà. J'ai commencé sur le mur de mon atelier, une fresque consacrée à la Centrafrique (ici à la fin de la première étape où je n'évoquais que la période coloniale). Etrangeté du hasard qui m'a faite replonger dans mon mémoire de maîtrise où j'avais évoqué les razzias dans l'ex-Oubangui-Chari. Nous étions alors dans les années 20. L'esclavage était officiellement aboli depuis quelques décennies mais le travail avait été décrété obligatoire dans les colonies. Une aubaine pour la compagnie des Batignolles à laquelle allait être confiée la construction de la ligne de chemin de fer reliant le Congo à l'Océan. On peut objecter que c'est de l'histoire ancienne. Je crois moi que l'histoire n'a pas d'âge. Elle est le sol sur lequel on se construit, le ferment de la conscience collective. Le colonialisme n'a pas été un accident de l'histoire et

2014 avec ARySQUE (calendrier et cartes de vœux)

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En décembre, c'est la coutume, je mets en vente des calendriers muraux de l'année suivante et des cartes de vœux pour la souhaiter bonne à tous ceux qu'on aime. Pour les acquérir, contactez-moi. Pour 2014, voici donc deux modèles de cartes de vœux, tous deux en format 10x15 cm : Prix unitaire : 1,60 € La pochette de 12 cartes (on peut panacher les deux modèles dans la limite des stocks disponibles) : 18 € (frais de port en France métropolitaine : 2 €) Modèle 1 Modèle 2    Et voici une présentation rapide du calendrier mural : 14 pages sur carton support imprimé, format 210 X 430 mm. Coût unitaire : 20 € Frais de port en France métropolitaine : 3 € La couverture Et quelques exemples mois/mois

Mandela, humaniste arc-en-ciel

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Nelson Mandela est mort.  Mais surtout, Nelson Mandela a vécu.  Il était de ces dignes, de ces indomptables de l'humanisme, de ceux qui ne renoncent pas, ceux qui sont assez forts pour continuer d'aimer l'homme, résolument, absolument, quel qu'en soit le prix. Nelson Mandela a vécu et cela est une chance pour tous et partout. Il aimait à dire combien il admirait le poème Invictus , signé de William Ernest Henley. Le voici donc, même si je crois qu'aujourd'hui, vous l'avez lu partout :            Invictus           Dans les ténèbres qui m’enserrent,           Noires comme un puits où l’on se noie,           Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,           Pour mon âme invincible et fière,           Dans de cruelles circonstances,           Je n’ai ni gémi ni pleuré,           Meurtri par cette existence,           Je suis debout bien que blessé,           En ce lieu de colère et de pleurs,  

Novembre ARySQUE

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Comme promis, voici le numéro de Novembre, un petit numéro pour mieux tourner la page. Et comme d'habitude, on le consulte en cliquant sur sa une ci-dessous.