28 mars. Exemplaire Tunisie


Hier, Ennahda, parti islamiste "modéré", vainqueur des premières élections libres tunisiennes qui ont suivi le printemps arabe né ici, a accepté de ne pas inscrire la Charia dans la constitution.
Certes, cela n'empêchera pas le nouveau gouvernement de promulguer des lois inspirées de la Charia et les femmes devront faire preuve d'une vigilance sans faille pour tenter de protéger leurs droits. Il n'empêche, sans cette inscription dans la constitution, les vainqueurs des prochaines élections, si tel est le souhait des électeurs tunisiens à ce moment-là, pourront passer à autre chose sans être empêchés par des freins constitutionnels.

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