Un nom pour Valérie Trierweiler


Valérie Trierweiler soutient l'adversaire de Ségolène Royal à la Rochelle le jour où François Hollande soutient son ex compagne. C'était un tweet. On a d'abord cru à un piratage. Mais non, elle assume.
Le coup a dû être sévère pour Ségolène, il est affligeant pour le PS qui espérait circonscrire le fratricide duel au terrain local. Raté : les militants UMP se tordent de rire et franchement, il y a de quoi.

François Hollande se tait. Forcément. C'est tellement gros qu'on ne l'aurait pas imaginé.
Leçon n°1 : toujours se méfier des rivalités internes. Leçon n°2 : ne jamais prendre parti quand deux femmes se haïssent. 
Sérieusement : ce matin, en entendant le soutien de François Hollande à Ségolène Royal, on a bien pensé que Valérie apprécierait, que peut-être il n'aurait pas du. Bingo ! Retour de bâton et l'humiliée fait d'une pierre deux coups, frappant l'ennemie et le traître.
C'est ridicule. J'ai peine à croire qu'une ex journaliste politique ait innocemment lâché une telle bourde sans imaginer qu'elle saborderait les ambitions de son compagnon. Je ne doute pas qu'elle ait mis force malice dans la rédaction de ce tweet. Et toc !

Je crois que c'est clair : elle n'a pas du tout envie d'être Première dame. Elle a même l'air de vouloir prouver qu'elle n'y serait pas à sa place, ne serait-ce que par manque de discrétion.
Ridicule. Première Dan pour quoi pas ; mais ni Première dame et encore moins première femme. 
Pas l'étoffe. On est bien loin de la dignité d'une Danielle Mitterand.

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