Loveland, j'l'ai dans la peau


Soyons clairs : celle dont j'ai couché les mots dans trois petites fleurs prunes est plus qu'une star, c'est une icône. Reine des revues parisiennes des années folles, elle était aussi totalement dingue de Maurice Chevalier et l'on dit que leurs valses endiablées enthousiasmaient le tout Paris.
Pour lui — prisonnier au cours de la première guerre — elle fera à peu près tout et jouera même l'espionne.

Qu'on se le dise, celle qui faisait se tordre de rire des salles entières et ensorcelait les hommes de sa beauté canaille était aussi une amoureuse totalement déraisonnable… 
La chanson du jour fut donc créée pour l'incomparable Mistinguett et reprise par une kyrielle de chanteuses : Arletty, Piaf, mais aussi Céline Dion et quelques autres.
Voici ce qui semble être une des dernières versions de Mon Homme enregistrées par Mistinguett.




Et voici My Man, une version en anglais, aux paroles quelque peu modifiées : celle de Billie Holiday.


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